mardi 25 février 2014

L'ARNAQUE AL-QUEDA (PART 4)


Des cellules mises en place par le Mossad
Le Mossad et la CIA avaient déjà mis en place des cellules d'Al-Qaïda dans le monde musulman et dans d'autres pays, comme aux États-Unis, Canada, Grande-Bretagne, Allemagne, Espagne, France, Kenya, Philippines, en fonction de leurs "projets" d'actes terroristes d'avant et après le 11/9, afin de créer une fausse menace terroriste dans le monde entier. Il n'est donc pas surprenant que quelques semaines après le 11/9, la CIA ait produit une carte des cellules Al-Qaïda situées dans plus de 40 pays!
Une équipe d'agents du Mossad qui peut se fusionner avec la population locale contrôle chaque cellule. Ils décident de la cible, du calendrier et de la portée de chaque opération de grande envergure, et ils coordonnent les besoins financiers, technologiques, d'équipement, des renseignements et les cachettes. Les militants de la cellule peuvent être des locaux ou des étrangers endoctrinés, larbins jetables, qui n'ont aucune idée de qui les contrôlent ou des buts réels des actes terroristes qu'ils sont enjoint à commettre. Les rabatteurs sionistes recrutent pour les cellules des volontaires fanatisés au nom d'Oussama et du Jihad contre l'Amérique et ses alliés ou satellites. Dans un environnement qui dépeint l'Amérique comme le plus grand état voyou, le protecteur du haineux Israël, ennemi des musulmans, il n'y a aucun problème pour trouver des volontaires.
Telle est l'origine et le caractère d'Al-Qaïda - créé, équipé, déployé et dirigé par le Mossad israélien, dans le rôle d'arme sioniste la plus efficace contre le monde islamique.C'est pourquoi chaque opération terroriste attribuée à Al-Qaïda, a dans ses conséquences et ses effets réels été un coup sévère porté à l'Islam, les pays musulmans et les musulmans vivant partout dans le monde.
Le masque Al-Qaïda tombe
La Nature a sa propre manière de dévoiler le vrai caractère des agences et des individus masqués qui sont engagés à provoquer le chaos des sociétés. La clé pour découvrir ce qui se cache derrière Al-Qaïda réside dans son propre nom! C'est un nom inapproprié et malvenu que d'authentiques musulmans moudjahidines n'auraient jamais utilisé pour leur organisation de combat.
Nous connaissons, à partir de dossiers publiés, l'origine du nom, Al-Qaïda, qui signifie "la Base". Il était le titre du dossier d'ordinateur dans lequel Oussama Ben Laden, employé de la CIA via le Renseignement saoudien en décembre 1979, commença à conserver les données des moudjahidin, recrutés et formés par la CIA et le Mossad pour le Jihad afghan. Le nom faisait partie du corps des moudjahidines arabes qui opéraient en Afghanistan et fut ensuite dirigé par Oussama.
L'utilisation du mot Al-Qaïda dans son sens "la base ou fondation ou code de base de principes", etc, est légitime en arabe moderne. Cependant, son utilisation en tant que nom pour un corps de combattants est très inapproprié, car sa signification est totalement contraire à l'esprit de combat et d'action.
Sa racine du mot Qa'ada signifie "s'asseoir, rester les bras croisés, etc". Un de ses dérivés, Qa'ad, signifie "des gens qui restent chez eux au moment des combats", un autre nom dérivé Qu'ood signifie "celui qui est just assis, une personne paresseuse"; au pluriel la forme des mots utilisés sont Qaedoon ou Qaedeen. Aucun chef musulman sensé ne voudrait appeler son organisation de combat 'Al-Qaïda'.
Il y a une raison impérieuse, voire une interdiction, au vu de laquelle jamais un chef musulman n'utiliserait ce nom d'Al-Qaïda pour son groupe de combat. Aux yeux d'Allah, les membres d'Al-Qaïda, c'est à dire, Qaedoon et Qaedeen sont ceux qui répugnent à combattre ou à lutter à Sa manière et sont donc indésirables.
Le Coran dit: «Quand une sourate descend les enjoignant à croire en Allah et à lutter et combattre avec son apôtre, ceux qui ont la richesse et l'influence te demandent l'exemption, et disent: '. Laissez-nous derrière, nous serions ceux qui restent assis à la maison'(Al-Qaedeen)"( 9:86).
"De tels croyants qui restent passifs (Al-Qaedoon) - autres que les personnes handicapées - ne peuvent pas jugés égaux à ceux qui luttent dur pour la cause de Dieu avec leurs biens et leurs vies ..." (4:95).
Ils dirent:" Moïse! Alors que leurs défenseurs restent là, jamais nous ne serons en mesure d'entrer, à la fin des temps. Va toi et ton Seigneur, et combattez à deux, alors que nous sommes assis ici (Inna Hahuna Qaedoon). "(5:24).
En effet, Al-Qaedoon ou Al-Qaedeen est l'antithèse, le contraire du Al-Mujahideen. Les moudjahidin sont ceux qui se battent ou luttent pour la cause d'Allah. Le Qaedeen reste loin des combats ou des dures luttes pour la cause d'Allah. Un corps de véritables moudjahidins musulmans n'opéreraient jamais sous le nom d'Al-Qaïda, parce que s'ils le faisaient, ils seraient eux-mêmes associés à ce terme, - Al-Qaedoon et Al-Qaedeen-, qui sont détestés par Allah.
Et si quelqu'un d'autre leur avait donné ce nom, ils le rejetteraient immédiatement et publiquement.
Le masque tombe du visage d'Al-Qaïda, et vous pouvez voir Oussama et ses soi-disant combattants et alliés tels que Ayman Zawahri, Abou Mossab Al-Zarqawi et le mollah Omar dans leur forme réelle. Cela confirme juste ce que j'ai déjà démontré sur la véritable identité d'Al-Qaïda qui n'est qu'un bras armé du Mossad.
Al-Qaïda est une arme sioniste contre l'islam
La plupart des musulmans perçoivent, à juste titre, la soi-disant guerre menée par l'Ouest contre le terrorisme comme une guerre contre l'Islam. Mais, ont-ils conscience que Oussama et sa bande, et ses adeptes parmi les musulmans, sont en fait les alliés les plus précieux de l'Occident dans cette guerre contre l'Islam ??!!
Oussama et Al-Qaïda sont la plus importante menace des musulmans, et non pas des Occidentaux. Ceci n'at-il pas déjà été prouvé par les horribles événements de ces quatre dernières années depuis le 11/9? Pour surmonter cette menace confuse, les dirigeants de tous les pays et communautés musulmanes se doivent de comprendre les complexités et les réalités du jeu sioniste, et doivent montrer à la face du monde le vrai visage d'Al-Qaïda et d'Oussama Ben Laden.
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p>Sources
http://snippits-and-slappits.blogspot.com/2012/02/al-qaeda-paradox-freedom-fighters-who.html
http://whitewraithe.wordpress.com/al-qaeda-created-by-the-jewish-agency-operation-under-israeli-mossad/
http://laveritablenaturedujudaisme.blogspot.com/2011/12/al-qaeda-created-by-jewish-agency.html

jeudi 20 février 2014

L'ARNAQUE AL-QUAEDA (PART. 3)



La couverture de Moudjahidines anti-communistes
Le 27 Décembre 1979, l'Union soviétique envahit l'Afghanistan en accord avec le complot sioniste mondial. Le Mossad était prêt pour son prochain déploiement d'agents juifs orientaux. Ils avaient été entraînés à regarder, agir et vivre comme des moudjahidin musulmans dévoués. De nombreux Tadjiks, Ouzbeks, Juifs afghans, ainsi que des Juifs de zones tribales pakistanaises se joignirent à leurs rangs.
Les Juifs orientaux devinrent des moudjahidines, et rejoignirent les partis/groupes de tous les grands leaders moudjahidin, Gulbadin Hikmatyar, Burhanuddin Rabbani, Ahmad Shah Massoud, Abdul Sayyaf Rasool, Maulavi Muhammad Yunus Khalis, etc.
Tout au long de la guerre soviéto-afghane, le Mossad resta le principal fournisseur d'armes et de matériel des moudjahidines pour le compte de la CIA, qui contrôlait la politique et la direction globales de la guerre tandis que l'ISI (Inter-Services Intelligence) du Pakistan conduisait le niveau tactique opérationnel.
Lorsque le Mossad/CIA établit Oussama dans ses fonctions au sein du Jihad afghan, les Juifs des tribus arabes en tant que spécialistes anti communistes s'étaient déjà établi une base solide dans les services du renseignement saoudien. Alors qu'Oussama gardait les dossiers des recrutements, de la logistique et des comptes (= les fonds fournis par la CIA) pour le Jihad dans le dossier de l'ordinateur (étiqueté dossier Al-Qaïda), l'incorporation, la formation et le déploiement des nouvelles recrues, en particulier celles du Moyen-Orient, étaient traitées par les Juifs arabes proches d'Oussama. Ainsi le Mossad avait un situation constamment mise à jour de toutes les opérations du djihad et de toutes les affaires des moudjahidins et de leurs dirigeants. Il manipulait les événements et façonnait les personnalités suivant les besoins de la sitaution requis par les machinations sionistes.
La couverture Taliban
Après le retrait soviétique en mai 1989 et la chute du régime fantoche de Kaboul, les agents du Mossad manipulèrent les moudjahidin de manière à qu'ils se battent entre eux. Ce qui créa de l'hostilité et de la méfiance au sein de leurs principaux groupes, et le gouvernement de coalition qu'ils mirent en place tardivement à Kaboul était impraticable dès le départ. Au début des années 1990 les Talibans menés par le Mollah Omar, mais en fait dirigés par les Juifs afghans qui se faisaient passer pour des Talibans, firent leur apparition dans la province de Kandahar, tel que programmé par le complot sioniste.
Très vite, les Talibans marchèrent sur Kaboul sans rencontrer la moindre opposition. Le monde était ahuri! Les gens n'avaient aucune idée que la plupart des dirigeants afghans et des seigneurs de la guerre n'étaient que de simples pions dans un jeu plus vaste : les seuls vrais joueurs étaient tous des juifs afghans. Pour sortir les combattants moudjahidines de l'avancée des Talibans, Zinjry utilisa l'argent, - irrésistibles-Dollars pour les Afghans - qu'il obtint en amadouant les Émirats Arabes Unis et l'Arabie Saoudite!
Le Mollah Omar, programmé pour son rôle et entouré de juifs afghans déguisés comme ses ministres et conseillers, fut investi d'une image d'extrémiste islamiste intolérant, un mentor d'Oussama Ben Laden et un ennemi de l'Occident. Simultanément, Oussama et ses disciples qui avaient déjà été programmés pour s'opposer aux Soviétiques, étaient désormais formés et programmés pour parler et agir en tant qu'"ennemis" des Etats-Unis.

mardi 18 février 2014

L’IRS n’est pas une Institution gouvernementale américaine


Le Bureau des Impôts sur le revenu interne (BIR), également connu sous le nom de Service des Impôts sur le Revenu interne (IRS), n’a jamais été voté par la création d’une loi du Congrès. Ce n’est pas une Institution du Département du Trésor (Ministère des Finances américain, ndt). La seule mention de l’IRS apparaît dans un document 31 U.S.C. section 301-315 qui déclare que le Président est autorisé à nommer un Conseiller adjoint général du Département du Trésor américain en tant que Conseiller en Chef de l’IRS.
Dans le procès de 1979 Chrysler contre Brown (441 U.S. 281), la Cour Suprême des Etats-Unis a reconnu qu’après des recherches remontant à la Guerre de Sécession, aucune Loi de base sur les fondements de l’IRS n’a pu être découverte. La Clause de Garantie de la Constitution établit que la règle se fonde sur la base de la loi fédérale (Article IV, section 4). Nous sommes censés être une nation régie par des lois – non une nation gouvernée par des édits des mondialistes. L’IRS n’est pas une Institution Publique des Etats-Unis parce qu’il n’existe pas de loi qui l’a créée. L’IRS est une escroquerie, une tromperie, qui nous pompe notre argent uniquement parce que nous les laissons faire.
L’IRS s’appelle, en réalité, Puerto Rican Trusts (Fond fidéicommis de Porto Rico)
L’IRS est un Trust de Porto Rico géré par le Secrétaire au Trésor (Ministre des Finances) comme Administrateur du Fond. Le fondateur et les bénéficiaires de ces trusts sont inconnus, et bien entendu, les lois portoricaines applicables aux trusts permettent de garder le secret sur ces entités.
Quoique cela soit dissimulé, selon le Code US 31, chapitre 3, l’IRS et le Bureau des Alcools, Tabacs et Armes à feu (BARF) constituent une seule et même organisation.
Acquises par la conquête, les Etats-Unis ont pris possession des Iles Philippines, de Guam et de Porto-Rico. La loi sur l’Administration des Douanes des Philippines fut promulguée par la Commission des Philippines entre 1900 et 1902. Elle a été créée pour régler les échanges avec les pays étrangers et pour imposer des droits de douane et des impôts indirects. Cette loi a créé le premier fond de fidéicommis du gouvernement fédéral, Trust Fund #1 (US Code 31, section 1321) qui fut administré sous le contrôle général du Secrétaire aux Finances et à la Justice.
En 1904 une autre loi fut promulguée créant le Trust Fund #2 qui fut connu sous le nom de Bureau of Internal Revenue (US Code 31, section 1321, article 1, alinéas 2 & 3)
En 1940 un autre Bureau de l’Internal Revenue (BIR) fut créé à Porto Rico et connu sous le Trust Fonds #62. Sous le plan de Réorganisation N° 3 de 1940 (US code 5, section 903) la Federal Alcool Administration (créée pour imposer la prohibition sur l’Alcool) a été abolie et ses fonctions transférées au Secrétaire du Trésor à travers le BIR. Bien que l’histoire ait supprimé les anciennes éditions de USC , on peut en déduire que la Federal Alcool Administration a été absorbée par le Trust #62 de Porto Rico.
Le Bureau of Internal Revenue devient le Internal Revenue Service
En 1953, les Etats-Unis ont cédé le contrôle des Philippines. De nombreuses questions restent ouvertes concernant les Trusts #1 (droits de douane) et Trust #2 (impôts sur le revenu), telles que pourquoi ils continuent d’être administrés à ce jour, et qui exactement sont les fondateurs et les bénéficiaires de ces trusts.
Ce n’est pas une coïncidence si en 1953, le Secrétaire du Trésor, G.K. Humphrey, sans autre autorité légale que la sienne, a changé le nom du BIR en Internal Revenue Service, en signant l’ordonnance du Trésor 150-06. On ne sait pas si Humphrey a changé le nom du BIR aux Philippines ou à Porto-Rico.
Sans l’approbation du Congrès ou du Président, Humphrey a illégalement transformé les Trusts en une Institution du Département du Trésor. Personne ne s’y est opposé, ou ne l’a même pas remis en question.
En 1935 lorsque la Loi fédérale sur l’Alcool (la prohibition) a été déclarée inconstitutionnelle dans les 50 Etats, les fonctions de l’Administration Fédérale de l’Alcool furent administrées par le Secrétaire du Trésor à travers le BIR, un trust offshore. Le BIR devint l’IRS, et l’IRS donna alors naissance au BATF. Le 15 septembre 1976, une signature transféra le poste de Directeur du BATF à l’IRS.
Avant 1940, un autre Bureau of Internal Revenue fut créé à Porto-Rico et connu sous le nom de Trust Fund #62. Sous l’égide du Plan de Réorganisation #3 de 1940 (US Code 5, section 903), l’Administration Fédérale de l’Alcool (créée pour faire appliquer la prohibition de l’alcool) fut abolie et ses fonctions transférées au Secrétaire au Trésor à travers le BIR. Bien que l’histoire en ait été supprimée des anciennes éditions de l’USC, on peut en déduire que l’Administration Fédérale de l’Alcool fut absorbée par le Trust de Porto-Rico #62.
La Loi régissant le commerce avec la Chine (China Trade Act) fut promulguée entre 1904 et 1938 pour le négoce de l’opium, de la cocaïne et des spiritueux exportés par la Chine, et fut apparemment administrée dans les Philippines par le BIR. Le Code des Règlements Fédéraux des USA, Titre 26 Internal Revenue, chapitre 1, définit pour la première fois des clauses et dispositions telles que revenus, crédits, évasion fiscale, imposition et collecte et défaut de déclaration. Cependant, tout le contenu du Titre 26 s’applique à des particuliers étrangers, à des sociétés étrangères, des navires étrangers, des revenus (fonciers) provenant de propriétés des Etats-Unis, et de citoyens et sociétés nationales américaines qui tirent leurs revenus (fonciers) de propriétés des Etats-Unis.
Toutes les taxes recouvrant ces droits concernaient des impôts, et taxes indirectes & droits de douane destinés à être collectés par le BIR sur les produits narcotiques, le tabac et les armes à feu. La Loi applicable IRS de 1939 s’appliquait à toutes les taxes et droits de douane relatifs au commerce entre des propriétés des Etats-Unis (Philippines, Porto-Rico, District de Columbia, Iles Vierges, Guam, Iles Mariannes septentrionales) et des particuliers, sociétés et gouvernements étrangers.
De fait, Al Capone n’a pas été en prison pour évasion fiscale mais pour des taxes non payées et dues sur l’Alcool importé depuis le Canada !
La Loi sur la Taxe de la Victoire
Promulguée par le Congrès pour les années 1943 et 1944, elle a dupé les patriotes Américains afin de soutenir les gagnants de la Deuxième guerre mondiale. Le Gouvernement Fédéral a créé un mensonge malicieux imposant tous les américains en adressant le formulaire 1040 à tout le monde. En fait, seuls les employés du Gouvernement fédéral, les résidents du District de Columbia et des bases navales, résidents de Forts, Les citoyens Américains des Iles Vierges, des Territoires de Porto Rico et leurs propriétés (fonciers) étaient soumis à cette disposition de payer cette taxe en premier lieu.
Le Bureau de Internal Revenue devient Internal Revenue Service
Pour résumer, il n’existe aucune organisation à l’intérieur Département du Trésor du nom de « The Internal Revenue Service » ou le « Bureau du Tabac et des Armes à feu. » Dans le Titre 31 USC qui énonce les lois applicables par le Département du Trésor et liste les organisations qui dépendent de lui, ne figurent pas d’IRS ou de BATF.
Cependant, aussi bien l’IRS (Porto Rico Trust #62) que le BATF figurent sur la liste des entités à auditerpar le Contrôleur Général et les deux sont cités comme ayant des bureaux à Porto-Rico.
Le Code IRS de 1939, également connu sous le nom de Code IRS de 1954, se limite à des taxes sur le tabac et les armes à feu, administré par l’IRS – alias BIR, alias Virgin Islands Bureau of Internal Revenue, alias Director ATF Division, alias IRS.
Il n’existe aucune loi qui oblige les citoyens des Etats-Unis de payer des impôts à l’IRS.
Il est toujours difficile de prouver que quelque chose n’existe pas, mais ceux qui savent comprennent qu’il n’y a pas eu de loi obligeant les citoyens des Etats-Unis d’Amérique à payer des impôts à une institution fédérale quelconque, et encore moins à des trusts portoricains dont les bénéficiaires sont secrets. Aucun agent ou représentant de l’IRS ou du BATF n’est capable de produire une loi, un décret, règlementation ou qui leur donne mandat pour auditer d’autres personnes qu’elles-mêmes.
Alors que le Département américain de la Justice a une procuration pour représenter les Institutions fédérales devant un Tribunal fédéral, il n’a aucun mandat pour représenter l’IRS car ce n’est pas une Institution fédérale. En outre, les gouvernements de tous les territoires fédéraux sont spécifiquement exclus de la définition d’une « Institution fédérale » de droit, loi du Congrès (5 U.S.C. 551 (1) (C)). Etant donné que l’IRS est domicilié à Porto-Rico, il n’est par définition pas une Institution fédérale qui peut être représentée par le Département de la Justice.
Néanmoins, parce que le Président a le pouvoir de nommer le Conseiller en chef de l’IRS, il/elle peut désigner un Adjoint qui peut se présenter devant un Tribunal fédéral au nom de l’IRS et de ses employés. La chaîne de commandement hiérarchique part du Congrès, pour aller au Président, puis au Conseiller en chef de l’IRS – sans passer par le Département de la Justice.
L’emprise de l’IRS
Nous sommes devenus un peuple gouverné par des lois fiscales faites par les riches pour les riches où il n’existe en réalité aucune loi qui exige de payer des impôts. L’IRS continue dans sa brutale application de cette arnaque parce que les tribunaux au niveau Fédéral ont, de procès en procès, refusé de les tenir pour responsables. De manière constante, la procédure que nous autorise notre Constitution est complètement transgressée, avec la confiscation de la propriété et des enregistrements si bien que les Américains sont impuissants à se défendre contre l’IRS et son arsenal.
Alors qu’est-ce qui finance notre gouvernement fédéral ?
Le spécialiste de la fiscalité Richard Standring (aujourd’hui décédé) croyait que les Etats-Unis se finançaient à l’aide d’emprunts auprès du Fond Monétaire International (FMI). En suivant la trace de chèques mentionnant l’IRS en tant que bénéficiaire, Standring découvrit que les chèques allaient à une banque de la Réserve Fédérale. L’argent transite ensuite vers la Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement (BIRD) pour être déposé sur un compte « Quad Zéro », qui est le compte à partir duquel l’IRS effectue les remboursements (selon 22 U.S.C. 286 et 31 CFR 11, section 214.7).
Selon les recherches de Standring, le solde est alors transféré au Fond Monétaire International et ensuite redistribué sous forme de prêts aux pays du monde entier, y compris les Etats-Unis.
Ces prêts doivent ensuite être remboursés avec intérêts aux banquiers du Fond Monétaire International.
Cet argent du contribuable est utilisé pour des prêts, même à notre propre pays (les Etats-Unis), que nous devons ensuite rembourser avec intérêts au Fond Monétaire International. Quelle part de la dette nationale cela représente-t-il ?
Il peut s’avérer impossible de déterminer avec précision combien de dollars en impôts droits et taxes les américains ont reversé à travers le Fond Monétaire International, ou ont été transférés par la Banque de la Réserve Fédérale à des banques étrangères, ou combien d’argent le gouvernement a illégalement prélevé pour des opérations spéciales (black-ops), des attaques sous faux pavillon (false flags), des dessous de table à des lobbyistes et des parlementaires, et pour l’assassinat de présidents (américains et étrangers), de scientifiques et de lanceurs d’alerte.
Néanmoins, ce qui peut être documenté, c’est que pendant 240 ans, une grosse partie de nos impôts droits et taxes ainsi que d’innombrables vies américaines – a servi à remplir les poches du complexe multinational militaro-industriel.
Alors que faire ?
Il existe maintenant des mouvements à pied d’œuvre pour organiser une nouvelle poursuite collective publique en justice à l’encontre de l’IRS. Nous applaudissons ces initiatives et aimerions ajouter un appel au clairon à tous les avocats patriotes américains qui ont le courage et la fermeté de se lever pour les citoyens américains et submerger les Tribunaux de poursuites judiciaires et révéler l’illégalité de l’impôt sur le revenu et de faire la lumière sur l’IRS pour ses escroqueries criminelles et forcer les Tribunaux de justice à faire appliquer la Constitution des Etats-Unis.
L’élite (autre nom de la cabale, ndt) s’est longtemps reposée sur le fait que nous ignorions la vérité et que nous ne savions pas quoi faire. Maintenant que nous connaissons la vérité, allons nous continuer à les laisser prendre notre argent en nous demandant « mais que puis-je faire ? »
Lors de nos débuts en tant que pays nous nous sommes libérés de la tyrannie, et nous devons le faire à nouveau – un changement monumental se produira lorsque Nous Le Peuple nous réunirons.
Extrait du rapport du 8 février – Copyright ©2014 Group K, Ltd.
Traducteurs : Patrick / Isabelle

vendredi 14 février 2014

L'ARNAQUE AL-QUAÏDA (PART. 1)


Pendant environ deux ans après le 11/9, lorsque ce sujet ou celui du terrorisme international était évoqué, l'administration américaine, comme les médias occidentaux hurlaient "Oussama, Oussama!"
Al-Qaïda n'avait que la seconde place. Puis peu à peu, les rôles se sont inversés. Maintenant, à chaque affaire terroriste partout dans le monde, ils crient "Al-Qaïda, Al-Qaida!" Oussama est donc passé en seconde position. En effet pour déplacer les projecteurs d'Oussama, d'autres combattants de l'ombre, comme Abou Mossab AlZarqawi, furent mis en avant.
Avant le 11 septembre 2001, il était presque impossible de trouver la moindre mention d'Al-Qaïda dans les médias américains. Mais, immédiatement après les dramatiques attentats, tous les médias (internet et presse) commencèrent à parler de cette entité, jusque là pourtant presque inconnue, comme si leurs reporters la connaissaient et l'étudiaient depuis des années!
Un exemple classique de cette publicité fut le «rapport spécial» dans le Time du 12 Nov 2001, qui s'étala sur plus des deux tiers de la revue, et dont le titre retentissant était, "INSIDE THE AL-QUAÏDA - Bin Laden's Web of Terror". ("Le réseau terroriste de Ben Laden - Al Qaïda - de l'intérieur")
Le rapport était muet sur la manière dont Al-Qaida avait surmonté, sans aucune difficulté, tous les barrages des agences et des autorités de la sécurité nationale américaine et avait détourné quatre avions de ligne américains, en avait pulvérisé trois d'entre eux dans des buildings pourtant très en vue et en plein jour!
Il ne donnait non plus aucune explication sur comment le Time avait rassemblé autant d'informations sur Al Qaida si peu de temps après le 11/9.
Le rapport était muet sur plusieurs faits connus publiquement. Il occultait le fait que c'était la CIA qui avait choisi Oussama et l'avait introduit via l'agence du renseignement saoudien dans le Jihad Afghan antisoviétique.
Le rapport du Time était un bouquet de désinformation, de scénarii d'événements passés fabriqués et de menaces potentielles. Ce qu'il rapportait sur le 11/9, Ben Laden, Al Qaeda et la menace future pesant sur l'Ouest était exactement la même chose que ce que les gouvernements américain et britannique ainsi que leurs services du renseignement propageaient. Il était évident que la source du rapport du Time était la CIA.
Les principaux rapports sur Oussama/Al-Qaïda qui parurent à cette époque dans diverses autres publications contenaient la même substance - leur source était la même!
Une puissance impressionnante attribuée à Al-Qaïda.
Le «rapport spécial» déployait beaucoup d'efforts pour présenter Al-Qaïda comme un puissant, ingénieux, très organisé, idéologiquement fanatisé, réseau mondial anti-occident avec des tas de «cellules» centralisées mais autonomes opérationnellement. Il attribuait à Al-Qaïda d'énormes capacités, y compris l'utilisation d'armes chimiques, biologiques, et des armes nucléaires tactiques, et des technologies informatiques complexes telles que la stéganographie (du grec ''écrits cachés'). Cette technique permet aux messages d'être glissés dans de banales images et des fichiers musicaux impossibles à détecter à l'œil nu, vu que les insertions sont très petites.
Al-Qaïda devait être montré comme ayant tous les pouvoirs et toutes les ressources nécessaires pour commettre les actes les plus terribles au niveau mondial. Sinon, comment pouvait-il être une menace suffisamment redoutable au niveau mondial ou un assez digne adversaire pour combattre la superpuissance mondiale?
Le vrai problème est qu'Al-Qaïda peut effectivement être investi de l'énorme capacité présumée car elle est un organe du Mossad! Les vastes capacités attribuées à Al-Qaïda sont celles du Mossad, qui a des tentacules dans le monde entier et peut déployer des armes biologiques, chimiques et nucléaires. Les populations mondiales, d'autant plus les musulmanes, et parmi elles surtout les religieux, doivent comprendre cette réalité effrayante.

Guerre contre la Drogue


La guerre contre la drogue se révèle être une totale imposture - L'armée américaine admet protéger et aider au lucratif commerce de l’opium en Afghanistan.
L'Afghanistan est, de loin, le plus grand producteur et exportateur d'opium dans le monde aujourd'hui, cultivant 92% de la part du marché du commerce de l'opium mondial. Mais ce qui peut en choquer plus d’un est le fait que les militaires américains ont été spécifiquement affectés à veiller sur les champs de pavot afghans, dont provient l'opium, afin de protéger cette industrie multimilliardaire en $ qui enrichit Wall Street, la CIA, le MI6, et divers autres groupes qui tirent grand profit de ce système commercial illégal de drogues.
Avant les événements tragiques de 11 Septembre 2001, l'Afghanistan était tout juste un acteur mondial dans la culture du pavot, qui est utilisé pour produire à la fois de l'héroïne illégale et de la morphine à visée pharmaceutique. En fait, les talibans avaient activement détruit les champs de pavot pour débarrasser le pays de cette plante nuisible, comme ce fut rapporté par le Pittsburgh Post-Gazette le Février 16, 2001, dans un article intitulé « la production d'opium nationale pratiquement anéantie. »
Mais après 11/9, le complexe militaro-industriel américain envahit rapidement l'Afghanistan et commença à faciliter la réintégration de l'industrie de pavot dans le pays. Selon le Programme des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC), la culture d'opium a augmenté de 657% en 2002, après que l'armée américaine ait envahi le pays sous la direction du président de l'époque George W. Bush.
La CIA responsable de la réinstallation de l'industrie d’opium en Afghanistan après 11/09
Plus récemment, le New York Times (NYT) a rapporté que le frère de l’actuel président afghan Hamid Karzaï avait été effectivement à la solde de la CIA pendant au moins huit ans avant que cette information ne devienne publique en 2009. Ahmed Wali Karzaï a été un acteur crucial dans le rétablissement du commerce de l’opium dans le pays, connu sous le nom de « Golden Crescent », et la CIA est celle qui a tout financé dans les coulisses.
« Le trafic de drogue du Croissant d'Or (Golden Crescent), lancé par la CIA dans les années 1980, continue d'être protégé par le renseignement américain, en liaison avec les forces d'occupation de l'OTAN et l'armée britannique » écrit le professeur Michel Chossudovsky dans un rapport de 2007, avant que ne soit révélé que Ahmed Wali Karzaï était à la solde de la CIA.
«Le produit de plusieurs milliards de dollars de cette contrebande lucrative sont déposés dans des banques occidentales. La presque totalité des revenus reviennent aux entreprises et aux syndicats criminels situés hors d’Afghanistan. »
Mais les grands médias ont colporté une tout autre histoire auprès du public américain. FOX News, par exemple, a diffusé une propagande en 2010 affirmant que les militaires protégeaient les champs de pavot afghans, plutôt que de les détruire, afin que les habitants soient contents (sic) et éviter ainsi un «risque sécuritaire» potentiel – et on peut entendre le reporter de FOX News mentir de manière flagrante au sujet des cultivateurs de pavot qui seraient soutenus financièrement par les talibans, plutôt que par la CIA ainsi que d'autres intérêts étrangers.
Ainsi, alors que des dizaines de milliers d'Américains continuent d'être affectés ou tués chaque année par des overdoses de drogues provenant de ce commerce illicite d'opium, et alors que la culture de plantes inoffensives comme la marijuana et le chanvre restent illégales aux États-Unis, l'armée américaine travaille activement à protéger les champs de pavot d’Afghanistan qui alimentent le commerce mondial de la drogue. Cette image nous révèle quelque chose de terriblement fourbe.

Traduit de l'anglais par mes soins

Source
http://www.naturalnews.com/034289_Afghanistan_opium_trade.html
http://laveritablenaturedujudaisme.blogspot.com/search/label/ENGLISH%20VERSION%20-%20177%20-%20War%20on%20drugs%20revealed%20as%20total%20hoax

mercredi 12 février 2014

L’art de la guerre : Les mains invisibles du pouvoir





Les « mystères de la République » qu’Andreotti a emporté dans la tombe ne sont pas aussi mystérieux. Il suffit de lire le livre « La repubblica delle stragi impunite » (La république des massacres impunis) du magistrat Ferdinando Imposimato, aujourd’hui président de la Cour Suprême de Cassation. Reste à voir si la page des « mystères » est un page désormais tournée dans l’histoire italienne. Imposimato, sur la base de documents, met sur le banc des accusés le groupe Bilderberg. Né en 1954 par une initiative d’ « éminents citoyens » étasuniens et européens, ce groupe a joué un rôle fondamental dans les opérations secrètes en Europe pendant et après la guerre froide. « Le groupe Bilderberg –conclut le magistrat- est un des responsables de la stratégie de la tension et donc aussi des massacres » à commencer par celui de Piazza Fontana en 1969. De concert avec la Cia et les services secrets italiens, avec Gladio et Stay Behind, avec la loge P2 et les loges maçonniques étasuniennes dans les bases Otan, avec les groupes néofascistes et les hiérarchies vaticanes.
C’est dans ce club prestigieux qu’a été admis Mario Monti qui, cinq mois après avoir participé à la réunion Bilderberg de juin 2011, a été nommé sénateur à vie par le président de la république et chargé de former le gouvernement. Dans le même club exclusif, où le silence est la règle (les actes des rencontres restent secrets), a été admis Enrico Letta. En juin 2012, après avoir participé à la réunion Bilderberg, il a confirmé que « la discussion était à huis clos » (au mépris de la « transparence » proclamée) et qu’il y avait à cette rencontre « des représentants de l’opposition syrienne et russe ».
On peut facilement imaginer pour quel type d’accord. Monti et Letta ont aussi été appelés dans la Trilatérale, la commission créée en 1973 par Rockefeller et Brzezinski, qui réunit des « experts leaders du secteur privé » d’Amérique du Nord, Europe et Asie sur des « questions d’intérêt global ». Elle réunit donc les plus puissantes oligarchies économiques et financières qui, avec les services secrets et les chefs militaires, s’accordent sur les stratégies à échelle mondiale : les grandes opérations spéculatives pour attaquer monnaies et économies nationales, les campagnes médiatiques pour diaboliser les ennemis, les guerres ouvertes et secrètes pour désagréger des pays entiers et s’emparer de leurs ressources.
Sans hasard, Mario Monti –consultant du groupe bancaire Goldman Sachs, un des plus grands artisans de la crise financière qui, partant des Etats-Unis, a envahi l’Europe- a été président européen de la Trilatérale. Marta Dassù en fait aussi partie : d’abord conseillère du président du Conseil D’Alema pendant la guerre contre la Yougoslavie, puis vice-ministre des affaires étrangères dans les gouvernements Monti et Letta, elle est active dans le groupe intergouvernemental des « Amis de la Syrie » qui arme les « rebelles ». Ceux-là même qui – comme l’a vérifié la commission onusienne de Carla Del Ponte- ont utilisé même des armes chimiques.
Enrico Letta a déclaré à la Chambre avoir « le langage “subversif” de la vérité ». Le terme « subversif », en réalité, est plus approprié (et sans guillemets) pour définir ce qui est en train d’arriver à la démocratie italienne.
Manlio Dinucci
Source : Mondialisation

Vérité, propagande et manipulation médiatique...par Mondialisation.ca


Les voix et les sources d’information honnêtes et indépendantes n’ont jamais eu autant d’importance. En tant que société, nous sommes inondés, submergés par un flot d’informations provenant d’une vaste panoplie de sources, lesquelles servent toutefois généralement de puissants intérêts, ainsi que les individus qui les possèdent. Les principales sources d’information, destinées à la consommation publique ou officielle, comprennent les médias dominants, les médias alternatifs, les universités et les boîtes de réflexion (think tanks).









Dans les médias dominants, la manipulation et la partialité qui leur sont inhérentes sont davantage évidentes. Ces médias appartiennent à de grandes multinationales et sont liés à une pléthore d’autres grandes entreprises mondiales et aux intérêts des élites par le biais de leurs conseils d’administration. Celui de Time Warner constitue un exemple de ces relations.
Time Warner possède Time Magazine, HBO, Warner Bros. et CNN, parmi tant d’autres. Le conseil d’administration comprend des personnes autrefois ou actuellement affiliées entre autres au Council on Foreign Relations, au FMI, au Rockefeller Brothers Fund, à Warburg Pincus, Phillip Morris et AMR Corporation.

Les deux sources d’information les plus « estimées » aux États-Unis sont le New York Times, (surnommé le « journal officiel ») et le Washington Post. Au conseil d’administration du New York Times se trouvent des gens qui sont ou ont été associés à Schering-Plough International (pharmaceutique), à la John D. and Catherine T. MacArthur Foundation, à Chevron Corporation, Wesco Financial Corporation, Kohlberg & Company, The Charles Schwab Corporation, eBay Inc., Xerox, IBM, Ford Motor Company, Eli Lilly & Company et d’autres encore. Il ne s'agit guère d'un bastion d’impartialité.

L’on pourrait dire la même chose du Washington Post, dont le conseil d’administration comprend Lee Bollinger, le président de l’Université Columbia et de la Federal Reserve Bank de New York; Warren Buffett, investisseur milliardaire, président et PDG de Berkshire Hathaway; ainsi que des personnes liées (actuellement ou autrefois) entre autres à la Coca-Cola Company, l’Université de New York, la Conservation International, au Council on Foreign Relations, à Xerox, Catalyst, Johnson & Johnson, Target Corporation, RAND Corporation, General Motors et au Business Council.

Il est également important d’aborder l’alliance, fréquemment clandestine, entre les médias dominants et le gouvernement étasunien. Carl Bernstein, l’un des deux reporters du Washington Post ayant couvert le scandale du Watergate, a révélé que plus de 400 journalistes étasuniens avaient « effectué des missions pour la Central Intelligence Agency [CIA] ». Fait intéressant, « l’emploi de journalistes fut l’un des moyens les plus productifs employés par la CIA pour la collecte de renseignements ». Parmi les organisations ayant coopéré avec la CIA figuraient « l’American Broadcasting Company, la National Broadcasting Company, Associated Press, United Press International, Reuters, Hearst Newspapers, Scripps-Howard, le magazine Newsweek, le Mutual Broadcasting System, le Miami Herald et les anciens Saturday Evening Post et New York Herald-Tribune ».
Selon des représentants de la CIA, les associations avec le New York Times, CBS et Time Inc ont été les plus précieuses. La CIA a même dirigé un programme d’entraînement « pour apprendre à ses agents comment être journaliste ». Ceux-ci étaient ensuite « placés dans d’importantes organisations médiatiques avec l’aide de leurs administrations. Durant les décennies suivantes, ce genre de relation a subsisté, quoique de manière plus clandestine et plus discrète. Par exemple, en 2000 on a révélé que durant le bombardement de l’OTAN au Kosovo, « plusieurs officiers de l'Armée des États-Unis membres du 4th Psychological Operations (PSYOPS) Group (Groupe des opérations psychologiques (OPSPSY)) à Fort Bragg ont travaillé dans le département des nouvelles au siège de CNN à Atlanta ». Le même groupe a « placé des articles appuyant les politiques de l’administration Reagan en Amérique centrale dans les médias étasuniens ». Le Miami Herald a décrit cela comme « une vaste opération de guerre psychologique semblable à celles effectuées par l’armée pour influencer une population en territoire ennemi ». Ces officiers militaires d’OPSPSY ont travaillé simultanément à la National Public Radio (NPR). Par ailleurs, l’Armée étasunienne a entretenu des liens étroits avec CNN.
En 2008, on rapportait que le Pentagone a dirigé une importante campagne de propagande en employant des généraux à la retraite et d’anciens représentants du Pentagone pour présenter une bonne image des politiques du gouvernement en temps de guerre. Le programme a débuté avant que la guerre ne commence en Irak en 2003 et s’est poursuivi jusqu’en 2009. Ces officiels, présentés comme des des « analystes militaires », ressortent des points de discussion gouvernementaux et, souvent, siègent aux conseils d’administration des entrepreneurs militaires. Par conséquent, ils ont un intérêt particulier dans les sujets qu’ils sont invités à « analyser ».
Les grandes fondations philanthropiques aux États-Unis ont pour leur part exploité couramment leur abondante richesse afin d’utiliser les voix des dissidents et des mouvements de résistance dans des réseaux sécuritaires pour les gens au pouvoir. Comme l’a déjà dit McGeorge Bundy, ancien président de la Ford Foundation : « Tout ce que fait la fondation est de rendre le monde sécuritaire pour le capitalisme. »
Par exemple, les fondations Rockefeller, Ford et John D. and Catherine T. MacArthur fournissent un immense soutien financier et organisationnel aux organisations non gouvernementales. De plus, les médias alternatifs sont souvent financés par ces mêmes fondations, ce qui a pour effet d’influencer l’orientation de la couverture médiatique, ainsi que de supprimer l’analyse critique.

11 septembre : Il ne s’est pas produit par l’intelligence d’Al-Qaeda. C’était la faute de la NSA*.


Forbidden Knowledge TV
Par Alexandra Bruce
Le 29 Juillet 2013
Le même jour de la semaine dernière où le Congrès s’est refusé à toute tentative de restreindre la violation croissante et illégale du Quatrième Amendement organisée par la National Security Agency (NSA) depuis plusieurs décennies, des lanceurs d’alerte, retraités de la NSA, se sont réunis jeudi dernier au Club de la presse « National Press Club » pour partager leurs vision sur l’histoire de cette organisation, les dérapages dans sa gestion et les infractions au système judiciaire américain, qui ont conduit à leur démission de postes qu’ils occupaient depuis 30 ans ou plus.
Ils étaient tous passés par les canaux hiérarchiques « autorisés », qui avaient été créés dans le but de révéler l’illégalité, la fraude, l’obstruction à la justice et la mauvaise gestion dont ils étaient témoins et qu’ils ne pouvaient plus tolérer.
Cependant, en récompense de décennies de service et de la manière discrète et respectueuse de leurs devoirs avec laquelle ils ont rapporté les errements qu’ils voyaient se dérouler en leur sein, ils virent leur vies professionnelle et privée détruites, et l’un d’eux, Thomas Drake, être poursuivi par le gouvernement fédéral pour ses efforts – un homme hautement décoré qui avait débuté sa carrière dans les avions-espions de l’Air Force en 1979 avant de travailler pour la NSA et d’autres services de renseignements durant près de 40 ans, en tant que vétéran décoré de l’U.S. Air Force et le l’U.S. Navy.
Heureusement, Drake était représenté par l’avocat Jesselyn Radack du Projet de Responsabilité gouvernementale (et ancien élève de la Brown University, comme moi), qui réussit à obliger le gouvernement américain à abandonner tous les 10 chefs d’accusation à son encontre.
Drake est le lauréat du Prix Ridenhour 2011 pour la Révélation de la Vérité et co-lauréat du Prix de l’Intégrité du Renseignement décerné par Sam Adams Associates for Integrity in Intelligence (SAII).
L’audacieux journaliste reporter de FKTV, Tyler Brass était présent à Washington D.C. à cette cérémonie dont il réussit à enregistrer l’essentiel avec la caméra de son téléphone portable. (je lui achèterai une caméra grâce aux dons de nombreux souscripteurs bienveillants de FKTV afin que ses vidéos soient de meilleure qualité à l’avenir !)
Il y a de nombreuses révélations à en rester bouche bée dans ce clip de 12 minutes. Voici quelques-unes des citations les plus frappantes faites lors de cette conférence du 25 juillet 2013 :
THOMAS DRAKE : Pour moi, c’est vraiment simple : la DARPA* a pris en connaissance de cause la décision de vendre la Sécurité Nationale au plus offrant et il s’agit là d’un des gros, des énormes cadavres dans le placard : Une redistribution massive des richesses de ce pays au profit d’un très petit groupe fermé. (* DARPA : Defense Advanced Research Projects Agency, NdT)
« Pensez aux milliers de milliards – littéralement – de dollars qui ont été dépensés depuis le 11 septembre, rien qu’en « Sécurité Nationale » et en « Sécurité pour la Patrie » et en « Défense » - et qu’avons-nous obtenu en retour ?
« Vous devez vous poser cette question – et c’est une question stratégique que nous devons poser, en termes d’impact futur sur notre pays, et sur le monde. »
WILLIAM BINNEY : «Le système que j’ai conçu traitait des méta-données, une manière d’analyser des contenus d’information mondiaux et d’en extraire ce qui serait pertinent par rapport aux cibles identifiées, comme le terrorisme ou le trafic de drogue.
« Il s’agissait de réduire le problème à quelque chose de gérable – au lieu de pomper l’information du monde entier et d’en noyer les analystes en leur disant : « Voilà, à vous de faire le tri. »
Eh bien, c’est ainsi qu’ils passent à côté de choses comme les poseurs de bombes de Boston et le tireur de Fort Hood : ils ont trop de données à filtrer, ils ne peuvent pas les filtrer – c’est ainsi qu’ils génèrent des dysfonctionnements.
« Il y avait beaucoup de gens, à l’intérieur de la NSA qui étaient réellement perturbés à ce propos (l’intrusion dans la sphère privée) et qui l’exprimaient face à nous, individuellement … (mais) ce n’étaient pas des extravertis ; ils n’étaient pas du genre à faire de grosses révélations ou de vouloir le faire en public à visage découvert – mais néanmoins, il y en a beaucoup que cela bouleverse. Nous en entendons beaucoup parler par nos personnels retraités. »
« Il n’y a pas de liberté d’association sans que la NSA soit au courant, OK ? Tout votre réseau social est cartographié par la NSA et il peut l’être chronologiquement et tout cela est enregistré de façon automatique par un logiciel … »
« Et malheureusement, ils ont retourné le système contre le peuple américain et c’est pourquoi je ne pouvais plus y rester. »
J. KIRK WIEBE : « Bill et moi avons quitté la NSA le jour d’Halloween en 2001, juste quelques semaines après le 11 septembre et nous l’avons fait dans un dégoût absolu : 3000 personnes – innocentes, concentrées sur leur travail, sont mortes ce jour-là – plus que le jour de Pearl Harbor. La NSA avait été créée pour éviter un autre Pearl Harbor !
Et, je vais vous dire, c’est la mauvaise gestion (de la NSA), son égoïsme, son ego et son arrogance qui ont conduit au 11 septembre. Il ne s’est pas produit par l’intelligence d’Al-Qaeda. C’était la faute de la NSA.
TRANSCRIPTION INTEGRALE DE LA VIDEO, CI-DESSUS :
http://www.forbiddenknowledgetv.com/videos/activism/nsa-whistleblowers-discuss-escalating-fraud-and-abuse-of-the-us-legal-system.html
DRAKE : Il est crucial, lorsque nous parlons de « légal » ici, « légal » est un terme technique, derrière lequel se cache l’excuse et la justification de la conduite qui a été révélée. Je suis certainement l’un des premiers exemples de ce qui arrive quand vous révélez des erreurs et l’illégalité du gouvernement et que le gouvernement lui-même – celui qui a enfreint la loi – l’entité même qui s’est engagée dans des agissements anticonstitutionnels, ou l’abus massif d’autorité basé sur la tromperie – ou l’obstruction à la justice, comme ce fut le cas de la NSA, lors des investigations du Congrès relatives au 11 septembre – il est très pratique pour eux de se dissimuler derrière la Danse du Kabuki ou de la fausse légalité. C’est précisément ce dont il s’agit.
Et ensuite d’inculper la personne même qui a eu la témérité, qui a osé tendre le miroir et les accuser de comportement criminel – et pour couronner le tout, de l’inculper sur la base de la Loi sur l’Espionnage.
BINNEY : Il leur a fallu combien d’années pour promulguer au Congrès des lois – ou des décrets aux lois – qui leur permettent d’appeler cela légal ? Et malgré tout, ils n’ont pas été confrontés au problème constitutionnel.
Et c’est pourquoi il y a maintenant plusieurs procès en cours qui essaient de trouver une solution au problème constitutionnel que pose la collecte de toute cette information par la NSA, pour commencer.
Maintenant, venons-en à votre question : Il y avait beaucoup de gens, à l’intérieur de la NSA qui étaient vraiment perturbés à ce propos (l’intrusion dans la sphère privée) et qui l’exprimaient face à nous, individuellement.
Le problème est que la plupart des employés de la NSA – plus de 85% d’entre eux, je pense – sont des « ISTJ » dans l’échelle de Meyers-Briggs (rires de l’auditoire). Ils sont introvertis, très introvertis, je veux dire que ce sont des gens qui travaillent sur des codes et des cryptages ; ils y consacrent toute la journée, assis à leur bureau. Il s’agit d’une société vraiment introvertie, vraiment concentrée – et cela conduit à ce type de personnalité.
Et donc, ce ne sont pas des extravertis ; ce n’est pas le genre à faire de grosses révélations ou de vouloir le faire en public à visage découvert – mais néanmoins, il y en a beaucoup que cela bouleverse. Nous en entendons beaucoup parler par nos personnels retraités.
Nous ne parlons pas aux gens dont nous savons qu’ils travaillent actuellement à la NSA , parce que si nous le faisions, ils seraient interrogés et probablement virés. Parce qu’ils (NSA) n’aimeraient pas les voir parler à « des gens de la mauvaise sorte ».
Le système que j’ai conçu traitait des méta-données, une manière d’analyser des contenus d’information mondiale et d’en extraire ce qui serait pertinent par rapport aux cibles identifiées, comme le terrorisme et le trafic de drogue.
Aussi, afin de réduire le problème à quelque chose de gérable – au lieu de pomper l’information du monde entier et d’en noyer les analystes en disant : « Voilà, à vous de faire de tri ». Eh bien, c’est ainsi qu’ils passent à côté de choses comme les poseurs de bombes de Boston et le tireur de Fort Hood : ils ont trop de données à filtrer, ils ne peuvent pas les filtrer – c’est ainsi qu’ils génèrent des dysfonctionnements.
C’est pourquoi le système que j’ai conçu simplifiait la tâche autant que possible et se focalisait sur le processus d’analyse à effectuer et permettait fondamentalement la cartographie sociale du monde entier. En d’autres termes, le réseau social de chacun ; si vous êtes au téléphone ou sur internet, vous êtes tous intégrés dans ce réseau social qui cartographie le monde entier. Ainsi, il gère tout cela et le maintient dans un très petit espace – pas si compliqué en fait – et il peut traiter n’importe quelle quantité de données – des trillions de transactions et les réduire à des milliards de relations personnelles autour du monde.
Et alors, toute cette information est stockée là, c’est comme une violation de votre capacité à vous associer avec des gens. Vous n’avez pas de liberté d’association sans que la NSA ne soit au courant, OK ? Tout votre réseau social est cartographié par la NSA et il peut l’être chronologiquement et tout cela est enregistré de façon automatique par un logiciel.
Ce sont simplement des transactions qui sont copiées et indexées par rapport aux lignes connectées au graphique – ce que nous appelons le graphique, c’est un réseau social. Ainsi, si nous voulions extraire des morceaux d’un réseau social – le vôtre par exemple, je dirais, « OK, je vais établir la chronologie de chaque activité du réseau social, pour cette période de temps, cela a déjà été indexé. C’est une question de logiciel. Ce ne sont pas des personnes qui le font, c’est le logiciel.
Et malheureusement, ils ont retourné le système contre le peuple américain et c’est pourquoi je ne pouvais pas y rester.
WIEBE : Il n’y a rien de magique chez un fournisseur privé; ils portent des vêtements, comme les autres êtres vivants; les agissements erronés de l’IRS ; des êtres humains du gouvernement ; ce sont les mêmes à la NSA et ils sont sujets aux mêmes faiblesses et dysfonctionnements.
Il est nécessaire de comprendre la petite histoire de la NSA. Lorsque la NSA fut fondée, elle vivait dans un monde de communications qui était relativement facile à comprendre, la technicité et la vitesse à laquelle elle évoluait étaient plutôt faibles, comparées à ce que nous avons vu à l’âge de l’Internet (bruits au fond), à l’âge de l’Internet, si vous voulez.
Il est très difficile de tenir la cadence avec toutes les applications et capacités et les « chats » discussions et les vidéos – toutes sortes de choses. Interrogez juste votre épouse, si vous ne l’avez pas fait récemment elle vous le dira. Mais la question principale c’est que la Direction croyait que la NSA n’était plus « au top », que la technologie évoluait tellement vite, par rapport à l’internet, qu’à l’intérieur de la « Boîte noire » de la NSA, elle ne se frottait pas à l’industrie tout les jours, que l’industrie était en concurrence sur son marché – et c’était parti. La NSA avait besoin de l’industrie, si elle voulait avoir une chance de rattraper son retard et de rester au niveau, si vous voulez, de l’ère digitale en évolution et c’est ce qui a causé cela.
A la même époque, le Congrès a avalé une pilule, le gouvernement a avalé une pilule que l’externalisation était quelque chose de magique et la bonne chose à faire et ils démontrèrent, en deux temps trois mouvements que cela économiserait de l’argent sur le long terme. Ainsi, les chiffres semblaient bons – et voilà, vous voyez ce que nous avons aujourd’hui ; une croissance incontrôlée de prestataires et d’externalisation et je crois réellement que c’est la raison pour laquelle nous sommes ici aujourd’hui.
DRAKE : Pour moi, c’est vraiment simple : DARPA a pris en connaissance de cause la décision de vendre notre Sécurité Nationale au plus offrant et il s’agit d’un des gros, énormes cadavres dans le placard : Une redistribution massive des richesses de ce pays vers un très petit groupe fermé.
Pensez aux milliers de milliards – littéralement - qui ont été dépensés depuis le 11 septembre, rien qu’en « Sécurité Nationale » et en « Sécurité de la Patrie » et en « Défense » - et qu’avons-nous obtenu en retour ?
Vous devez vous poser cette question – et c’est une question stratégique que nous devons poser, en termes d’impact futur sur notre pays, et sur le monde.
Donc, s’il y a un incitatif direct, pour ceux qui sont du côté des fournisseurs, à maintenir le problème, maintenir la question – vous n’avez pas intérêt à le résoudre, surtout lorsque vous savez que c’est le gouvernement qui vous nourrit.
ANIMATEUR : Bien, nous entendons beaucoup dire que les lanceurs d’alerte sont « narcissiques ». C’est une des choses, des réflexions que l’on entend, « Oh, ils sont narcissiques, ils cherchent à capter l’attention. Je veux dire, j’ai vu ce que vous les gars avez traversé – il est difficile de croire que quiconque voudrait passer par où vous êtes passés, alors parlez-nous en un peu. »
DRAKE : (sardonique) C’est très narcissique de la part de quelqu’un de prêter serment de protéger la Constitution – l’idée et les prémisses qui sont intégrées dans la Constitution, la Déclaration des Droits – c’est cela qui me rend narcissique !
Donc, oui, en narcissique, je voulais aller de l’avant et lancer l’alerte, en narcissique, je voulais m’exposer à la destruction de ma vie professionnelle, de ma vie privée – de voir tout chamboulé – c’est évidemment quelque chose qu’un être narcissique voudrait faire. (Rires de l’auditoire).
Ce n’est qu’une projection, c’est tout. En fait, utilisez juste la psychologie inversée et tenez le miroir et vous verrez qui sont les vrais narcissiques – surtout s’ils sont dans des positions de pouvoir.
WIEBE : Bill et moi avons quitté la NSA le jour d’Halloween en 2001, juste quelques semaines après le 11 septembre et nous l’avons fait dans un dégoût absolu : 3000 personnes – innocentes, concentrées sur leur travail, sont mortes ce jour-là – plus que le jour de Pearl Harbor. La NSA avait été créée pour éviter un autre Pearl Harbor !
Et, je vais vous dire, c’est la mauvaise gestion (de la NSA), son égoïsme, son ego et son arrogance qui ont conduit au 11 septembre. Ce n’est pas l’intelligence d’Al-Qaeda. C’était la faute de la NSA. Et c’est ce qui m’a motivé, personnellement en tant que lanceur d’alerte. Ce n’était pas du narcissisme. Cela m’est égal de savoir qui m’a regardé sur quel programme de télé – cela n’a pas d’importance pour moi – mais que 3000 innocents soient morts a fait une différence.
J’en ai eu les larmes aux yeux de frustration, « que pouvais-je faire ? » Je me rappelle avoir traversé ce conflit émotionnel à propos de « comment gérer quelque chose de cette ampleur ? »
Et je peux vous dire ceci : vous essayez de passer par la hiérarchie… vous savez, je me rappelle un courriel , Loomis, Binney, Drake, Wiebe, discutant de, « Allons-nous voir l’IG (L’Inspection Générale) – ou nous dirigeons-nous vers « l’option nucléaire » ? L’option nucléaire aurait consisté à aller vous voir vous (la presse).
Et, en raison de notre formation, durant tant d’années, parce qu’on nous avait dit que la porte du bureau de l’Inspecteur Général nous était ouverte pour discuter de mauvaise gestion, de fraude, etc., nous avons décidé d’emprunter ce chemin, les « canaux hiérarchiques autorisés ». Il n’en est résulté RIEN de bon pour personne ! Aucune vérité ne fut révélée.
En fait, Michael Hayden commença à superviser un des plus importants ratés dans l’histoire des renseignements du pays, appelé « Trailblazer », et durant ses trois ou quatre années d’intervention, une masse de renseignements non communiquée fut perdue par la NSA. Il faut que vous compreniez ceci : lorsque vous n’avez pas une vision intelligente du renseignement : vous perdez – ils gagnent.
Et néanmoins, cet homme fut promu. Il eut aussi l’audace de redéfinir le 4ème Amendement, si vous n’ avez jamais vu ce geste (Wiebe fait un carré avec ses mains). Et il l’a fait unilatéralement. Cela résonnait bien aux oreilles des avocats du Département de la Justice et il a continué. Ils n’ont jamais interrogé la Cour Suprême, ils n’ont jamais posé la question en audience publique si c’était une bonne chose (l’intrusion massive dans la sphère privée). Nous savions que ce n’était pas nécessaire.
Le concept de Bill Binney : ThinThread de protection des identités.
Nous n’avions pas besoin de le faire (l’intrusion dans la sphère privée). Bill Odom, ancien directeur de la NSA, dans une interview de 2006, fut interrogé sur ce que la NSA préparait et il dit, « Mon Dieu, Michael Hayden devrait être en prison. » Bobby Inman, un des meilleurs directeurs dans l’histoire de la NSA, déclara : « C’est une ligne que nous n’aurions jamais franchie ».
Alors, que faisons-nous ? Rendons-nous le pays plus sûr ? Empêcherons-nous un autre 11 septembre ? Mais il nous manque déjà des opportunités-clés du renseignement et donc je suis préoccupé par le fait que nous faisons les choses complètement de travers et que nous sommes devenus l’ennemi même que nous avons essayé de mettre en échec, au fond, c’est ce que nous avons fait.
NSA (Agence de renseignement)
Traduction Patrick – Rev. Isabelle

lundi 10 février 2014

LE COIN DU LIBRAIRE


LA THÉRAPIE DIVINE
Par
Julie Morin
CHAPITRE 7
LES FRONTIÈRES D’AMOUR
Dans nos pays respectifs, les frontières sont protégées par des gardiens armés et pour les franchir, il faut des papiers, des passeports, de l’argent…
Dans l’au-delà, les frontières entre les divers milieux de vie se franchissent aisément, naturellement, quand on exprime un Amour plus grand. Il faut grandir en Amour pour pouvoir avoir accès à des milieux de vie de plus en plus beau, lumineux, Amoureux.
Si un être commence dès maintenant à élargir son Amour, il se retrouvera plus tard dans un milieu beaucoup plus Amoureux. S’il commence plutôt à avoir de nombreux comportements dépourvus d’Amour, de Respect, de Paix… il abaisse dès maintenant son taux vibratoire au lieu de l’élever, et quand il se retrouvera dans l’au-delà, il se retrouvera dans un milieu qui reflète parfaitement sa condition d’âme présente.
Le type de pensées, d’émotions, d’actions qui est au cœur de nos vies présentement, est un aimant direct pour tout ce qui sera le début de notre après-vie. Notre vie, après cette vie dans la 3ème dimension. Chaque situation individuelle pourra par la suite être améliorée ou empirée, selon les changements vécus dans l’âme de chaque individu.
Les gens qui cherchent à grandir en Amour ne savent pas toujours qu’il existe deux formes distinctes d’Amour : l’Amour naturel ou humain, et l’Amour Divin.
L’Amour naturel ou humain, est de se laisser porter par ce qui nous attire naturellement, ce qu’on Aime spontanément, sans se demander si cela a des conséquences sur notre santé, sur la planète, sur des êtres autour de nous, et si cela nous rend de plus en plus libres ou de plus en plus dépendants.
Dans l’amour naturel ou humain, les gens peuvent grandement Aimer toutes sortes de choses dont ils deviendront profondément dépendants, voir même obsédés par moments : la nourriture, l’alcool, la cigarette, l’orgasme, la gloire, le prestige, les apparences de richesse, le confort excessif, la compétition, la manipulation, le mensonge, etc…
Dans l’Amour Divin, on apprend à Aimer ce qui peut nous garder en santé pour l’éternité et ce qui ne fait pas de tort à personne. Cela nous conduit à une vie plus équilibrée, plus tempérée, avec plus de sensibilité, de délicatesse, de simplicité, de collaboration, de co-création, et de vérité.
Dans l’Amour Divin aussi, nous demandons très souvent à Dieu son avis, et nous nous assurons de vivre d’une façon qui respecte les Lois Divines d’Harmonie. Si nous ne sommes pas certain que notre comportement, notre pensée, notre attitude, sont alignées avec la Présence Divine Intelligente et Amoureuse, nous attendons avant de continuer, nous continuons de prier, d’écrire notre Journal personnel, de discuter avec des amis spirituels, pour nous assurer de ne pas avancer dans une direction qui pourrait être blessante pour nous, pour d’autres personnes ou pour la planète.
Pour vivre ainsi en cessant de nourrir notre nivid (l’aspect en nous qui va à l’encontre du Divin) et en refusant de développer toujours plus nos dépendances, nous avons besoin d’identifier nos émotions troublées qui nous poussent vers les dépendances et la fuite… Nous avons besoin de rechercher quelles sont nos peurs, nos colères, nos frustrations, et aller à la cause de cela, pour qu’elles puissent disparaître.
Nous avons aussi besoin de ressentir profondément nos émotions agréables et désagréables pour devenir de plus en plus conscient de ce que nous vivons vraiment et être capable d’aller au fond des choses, des situations, pour les transformer définitivement.
De plus, Dieu est en premier lieu vivant en nous, par notre ressenti d’Amour, de Joie, de Paix, alors si nous bloquons nos émotions difficiles, nous bloquons aussi notre contact direct avec Dieu. Les gens qui refusent de ressentir leurs émotions, de les laisser monter, de les pleurer aussi par moments, étouffent ce qu’ils ressentent et en viennent à ne plus rien ressentir, ni ce qui est agréable, ni ce qui est désagréable, et à ne plus sentir non plus quels sont leurs véritables désirs, élans, issus de Dieu, pour embellir et enrichir le monde.
Les gens qui ne font pas de travail régulièrement pour libérer leurs émotions et les transformer, deviennent froids, indifférents, neutres, et n’ont plus d’opinion sur rien, car ils trouvent toujours des arguments pour justifier les postions de tous les côtés.
Lorsqu’on veut étendre notre Amour, nous avons besoin au départ de contacter nos émotions, de nous ouvrir pour les ressentir, pour ressentir aussi ce que vivent les gens près de nous, et d’être à l’écoute pour voir ce que nous pouvons faire, dire, partager, qui pourrait les aider et nous aider également. Car quand les gens près de nous vont mal, une partie de notre univers se trouve à aller mal. Et par la Loi d’Aimantation, ce n’est pas un hasard, nous avons aimanté cette situation dans notre vie, et il y a un miroir quelque part avec notre monde intérieur. Nous sommes alors invités à ne pas accuser l’extérieur mais plutôt à chercher qu’est-ce qui en nous, a une vibration semblable, comment nous pouvons changer cela, et comment nous pouvons aider les gens semblables à nous, à comprendre ce que nous avons compris et qui nous fait vraiment du bien !
Parfois aussi, le simple fait de changer intérieurement, de ramener l’Amour là où il était absent, se trouve à inviter l’Amour à se manifester spontanément, par aimantation naturelle, dans la vie d’une personne proche de nous qui était en miroir de nous.
Quand nous avons un conflit avec une personne, il est précieux également de ne pas nous soucier uniquement de la Vérité de nos paroles, mais de l’Amour qui est présent dans le ton que nous utilisons pour parler à cette personne.
Nous pouvons apprendre à former un « Cocon d’Amour » avant de commencer toute discussion qui sera potentiellement difficile et chargée d’émotions avec une personne près de nous. Si nous prenons le temps de nous centrer intérieurement, de contacter notre nature d’Enfant de Dieu, de ressentir la Présence de Dieu avec nous, de Lui demander de nous assister pour trouver les mots justes et voir au-delà des apparences, l’Enfant Divin qu’est également la personne en face de nous, nous formons le « Cocon d’Amour » qui favorisera la meilleur discussion possible. Et des solutions nouvelles émergeront.
À l’inverse, quand nous commençons à discuter avec une personne, ou à régler une situation avec elle, sans avoir au préalable vérifié notre état intérieur, et si nous avons ou non créé le « Cocon d’Amour » qui attire le meilleur en chacun, nous entamons la discussion avec de la frustration, de la colère, de la brusquerie, des accusations (externes ou internes), et toute ces émotions lourdes et négatives, se trouvent à agresser l’autre personne subtilement. Par conséquent, elle se mettra dans une position défensive, elle sera moins ouverte, elle ressentira davantage la peur, et dans cet état intérieur, très peu d’Inspirations Divines et de Solutions Merveilleuses pourront traverser son champ de pensée. Elle sera plutôt dans ses schémas de réaction du passé, avec les peurs que ce qu’elle a vécu dans le passé se reproduise, et c’est fort possiblement ce qui se produira, car tout prédispose à cela, en elle comme en nous.
Nous avons donc la responsabilité d’être au meilleur de nous-mêmes avant de converser avec les gens, avant de les rencontrer, afin que le « Cocon d’Amour » soit formé aussi souvent que possible, que nous ayons Foi que le meilleur peut se produire, avec toute l’Aide Divine que nous demandons également, et ainsi, notre vie nous apporte souvent des surprises étonnantes qui nous réjouissent.
Pour être de plus en plus souvent au meilleur de nous-mêmes et capable de former ce « Cocon d’Amour » aisément, rapidement, fréquemment, dans nos diverses relations, et tout spécialement aussi dans noter couple, il est nécessaire d’avoir régulièrement des moments de Thérapie Divine à notre programme, pour nous libérer des charges négatives qui sont en nous, et nous ressourcer auprès de notre Père Divin et notre Mère Divine pour bénéficier de tout ce qu’Ils peuvent nous offrir.
Je vous invite donc à pratiquer tout ce qui est décrit dans ce petit livre pour vous aider à améliorer tout ce que vous vivez, chaque jour votre vie, et si vous avez besoin d’aide pour mieux comprendre les notions que j’ai expliquées ici en résumé, je suis là par courriel, pour vous donner plus d’explications (car je réponds gratuitement à environ 300 personnes chaque mois, dans mes temps libres) ou je peux vous rencontrer en Consultation en privé en personne ou au téléphone, en échange d’un Don. Je fais ce travail d’éveil, de sensibilisation, de re-connexion au Divin très intensément, depuis 25 ans, et je suis là pour partager aussi librement que possible, le meilleur qui est en moi et aussi en vous !
Solidairement et Amoureusement,
Julie
juliedemontreal@gmail.com
Ce livret a été complété le 26 janvier 2014.

vendredi 7 février 2014

Pedophilie et Vatican, suite



Par Nicole Winfield
http://news.yahoo.com/un-committee-blasts-vatican-sex-abuse-abortion-135507592.html
Le comité des Nations Unies accuse le Vatican à propos des abus sexuels, de l’avortement.
Kirsten Sandberg, au centre, présidente du comité des droits de l’homme des Nations Unies en discussion avec les membres du comité, Maria Herczog, à droite, et Benyam Mezmur durant la conférence de presse au siège des Nations Unies à Genève, en Suisse, mercredi, 5 février 2014. (Illustration de la photo)
LA CITE DU VATICAN – (AP)
Le Vatican a «systématiquement » adopté des politiques permettant à des prêtres de violer et d’agresser sexuellement des dizaines de milliers d’enfants pendant des décennies, selon une communication faite mercredi par le comité des droits de l’homme des Nations Unies qui presse le Saint Siège d’ouvrir ses dossiers sur les prêtres pédophiles et les évêques qui ont dissimulé leurs crimes.
Dans un rapport accablant salué par les victimes d’abus sexuels, le comité des Nations Unies a sévèrement critiqué le Saint Siège pour ses attitudes envers l’homosexualité, la contraception et l’avortement et dit qu’il devrait modifier son propre droit canon pour assurer que les droits des enfants et leur accès aux soins de santé soient garantis.
Le Vatican a immédiatement fait objection et son ambassadeur à l’ONU a accusé le comité d’avoir trahi les propres objectifs de l’organisation internationale en se soumettant à l’influence d’idéologues pro-homosexuels. Il dit qu’apparemment le comité n’avait tout simplement pas écouté lorsque le Saint Siège avait présenté toutes les mesures qui avaient été prises pour protéger les enfants.
Le rapport, qui a surpris le Vatican par son ton brutal, met à nouveau la pression sur le Pape François pour qu’il évolue sur le dossier des abus et tienne les engagements de créer une commission du Vatican pour étudier l’abus sexuel et recommander les meilleures pratiques pour le combattre. La commission a été annoncée en Décembre, mais peu de détails ont été communiqués depuis.
Le comité a remis ses recommandations après avoir soumis le Saint Siège à un interrogatoire d’une journée entière le mois dernier, sur sa mise en œuvre de la Convention des Droits de l’Enfant des Nations Unies, le traité majeur des Nations Unies sur la protection de l’enfance, que le Saint Siège a ratifiée en 1990.
D’une manière critique, le comité a rejeté le vieil argument du Vatican qu’il ne contrôle pas ses évêques ou ses prêtres violeurs, en disant que le Saint Siège était responsable de l’exécution du traité non seulement dans la Cité-Etat du Vatican mais partout dans le monde « en tant que pouvoir suprême de l’Eglise catholique par l’intermédiaire d’individus et d’institutions placés sous son autorité ».
Dans son rapport, le comité a stigmatisé « la loi du silence » qui a longtemps été utilisée pour contraindre les victimes au silence, en indiquant que le Saint Siège avait systématiquement placé la réputation de l’église et des agresseurs présumés au- dessus de la protection des enfants victimes. Il a appelé le Saint Siège à indemniser toutes les victimes et de tenir pour responsables non seulement les violeurs, mais aussi ceux qui ont couvert leurs crimes.
« Le comité est gravement préoccupé par le fait que le Saint Siège n’ait pas reconnu l’étendue des crimes commis, qu’il n’ait pas pris les mesures nécessaires pour s’occuper des cas d’abus sexuels sur les enfants afin de les protéger, et ait adopté des politiques et des pratiques qui ont mené à la continuation des abus sexuels par, et à l’impunité des, auteurs », dit le rapport.
Il appelle François, via la commission en création, à mener une enquête indépendante sur tous les cas d’abus sexuels par les prêtres et sur la façon dont la hiérarchie catholique y a répondu dans le passé, et presse le Saint Siège d’établir des règles claires sur l’obligation de transmission des rapports sur les abus à la police et de soutenir les lois qui permettent aux victimes de rapporter des crimes, même après que les délais de prescriptions aient expiré.
Aucun évêque catholique n’a jamais été sanctionné par le Vatican pour avoir protégé un prêtre ayant commis des abus, et ce n’est qu’en 2010 que le Saint Siège a imposé aux évêques de dénoncer les auteurs à la police lorsque l’application de la loi l’exigeait. Les officiels du Vatican ont reconnu que cette responsabilité épiscopale demeure un problème majeur tout en indiquant que sous François, les choses devraient changer.
Les recommandations du comité ne sont pas contraignantes et il n’y a pas de mécanisme d’exécution. Au lieu de cela, l’ONU a demandé au Vatican d’appliquer les nouvelles recommandations et de préparer un rapport pour 2017. Le Vatican est déjà en retard de quatorze ans pour la remise du rapport le plus récent.
Ce comité est composé d'experts indépendants, et non d’autres Etats membres de l'ONU – ce qui est le cas du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, plus important et souvent plus politique, qui siège également à Genève. Le Comité des Droits de l’Enfant est l’un des 10 organismes de l’ONU qui surveille l‘application des traités des Droits de l’Homme aux Nations Unies, et ses 18 membres comprennent des universitaires, des sociologues et des spécialistes du développement de l’enfant, venant du monde entier.
L’archevêque Silvano Tomasi, qui dirigeait la délégation du Vatican à la session du 16 janvier à Genève, a été clairement décontenancé par le ton acerbe du rapport.
« Il semble que le document ait été préparé avant la réunion du comité, au cours de laquelle le Vatican a donné des réponses détaillées sur différents points qui ne sont pas abordés dans le document final ou ne semblent pas avoir été pris en considération, » a-t-il dit à Radio Vatican.
Tandis que l’essentiel de l’attention s’est concentrée sur les abus sexuels sur l’enfant, les recommandations du comité se sont étendues bien au-delà, sur des questions concernant la discrimination contre les enfants et leurs droits à des soins de santé adéquats, sujets qui touchent au cœur des enseignements de l’église concernant la morale de la vie et de la sexualité.
Le comité par exemple, a sommé le Vatican d’amender son droit canon pour identifier les conditions d‘accès à l’avortement, afin qu’il puisse être autorisé aux enfants, comme le fait de sauver la vie d’une jeune mère. Il a pressé le Saint Siège de s’assurer que l’éducation sexuelle, y compris l’accès à l‘information au sujet de la contraception et de la prévention du VIH, soit obligatoire dans les écoles catholiques. Il a appelé le Saint Siège à user de son autorité morale pour condamner la discrimination contre les enfants d’homosexuels, ou les enfants élevés par des couples de même sexe.
L’église enseigne que la vie commence à la conception. Le Vatican, qui s’oppose de ce fait à l’avortement et à la contraception artificielle, appelle au respect des homosexuels, mais considère les actes homosexuels comme « étant intrinsèquement pathologiques ». Le Vatican a tout un historique de confrontations diplomatiques avec les Nations Unies sur de tels sujets.
Tomasi a dit que l’appel à reconsidérer l’avortement allait à l’encontre des objectifs mêmes du traité des Nations Unies de protection de la vie de l’enfant avant et après la naissance, et il a accusé les groupes de soutien aux droits des pro-homosexuels et du mariage homosexuel d’avoir « appuyé une ligne idéologique » du comité.
Benyam Mezmur, un membre du comité et universitaire éthiopien sur les droits légaux des enfants, a rejeté de telles accusations et a dit que le rapport du comité était équilibré et qu’il avait simplement pour objectif de s’assurer de l’application du traité.
« Le Comité des Droits de l’Enfant n’est pas sur la ligne de dire « Bien dit » ! Mais sur la ligne de dire « Bien fait » ! Nous voulons des mesures concrètes, a-t-il déclaré dans une interview téléphonique depuis Genève.
Austen Ivereigh, coordinateur de Voix Catholiques, un groupe de défense de l’église » a dit du rapport que c’était « un étalage choquant d’ignorance et d’autoritarisme ».
Il a dit qu’il avait manqué de reconnaître les progrès qui avaient été faits ces dernières années et que l’Eglise catholique est en maints endroits considérée à présent comme un leader dans la sauvegarde des enfants. Et il a noté que le comité semblait incapable de saisir la distinction entre les responsabilités et la juridiction du Saint Siège, et celles des églises locales sur le terrain.
« Il ne tient aucun compte des particularités du Saint Siege, le traitant comme s’il était le siège social d’une entreprise multinationale » a-t-il dit dans un courriel.
Mais les groupes de victimes ont salué le rapport comme un rappel à destination des fonctionnaires de police laïcs pour enquêter sur les abus et toute dissimulation, et à poursuivre en justice la hiérarchie ecclésiastique qui continue de protéger les prêtres prédateurs.
« Ce rapport redonne de l‘espoir à des centaines de milliers de victimes profondément blessées et souffrant toujours d’abus sexuels par le clergé dans le monde » a déclaré Barbara Blaine, présidente du principal groupe de victimes américaines SNAP. C’est maintenant aux fonctionnaires laïcs de suivre les directives des Nations Unies et d’intervenir pour protéger les personnes vulnérables parce que les fonctionnaires catholiques sont soit incapables soit réticents à le faire. »
Suivre Nicole Winfield at. www.twitter.com/nwinfield
Traduit en français par Isabelle & Patrick

Pédophilie et Vatican, l'ONU demande au Vatican de saisir la justice.



  • Le rapport de l'ONU dénonce notamment le transfert de prêtres pédophiles de paroisses en paroisses pour cacher leurs crimes.

Les Nations Unies ont demandé mercredi au Vatican de déférer devant la justice tous les pédophiles au sein de l'Eglise.

Le Comité des droits de l'enfant des Nations Unies a demandé mercredi au Vatican de déférer devant la justice tous les pédophiles au sein de l'Église, critiquant l'attitude du Saint-Siège dans le passé.
Dans un communiqué, ce dernier a "pris acte" des vives reproches de l'ONU : Kristen Sandberg, la présidente du Comité des droits de l'enfant, a même déclaré que le Vatican violait la Convention sur les Droits de l'enfant.

"Relever les suspects de leur fonction"

Le Comité demande au Vatican "de relever immédiatement de leur fonction toute personne suspectée d'abus sexuel et de déférer leur cas aux autorités judiciaires compétentes à des fins d'enquête et de poursuites".
Le Comité souligne dans son rapport publié mercredi à Genève "sa profonde préoccupation quant aux abus sexuels d'enfants par des membres de l'Église catholique placés sous l'autorité du Saint-Siège, avec des religieux impliqués dans l'abus de dizaines de milliers d'enfants dans le monde".

Des transferts de paroisses pour cacher les crimes

"Le Comité est profondément préoccupé que le Saint-Siège n'ait pas reconnu l'étendue des crimes commis et n'ait pas pris les mesures nécessaires pour traiter les cas d'abus sexueIs d'enfants et protéger ces enfants, et ait retenu des politiques et des pratiques qui ont conduit à la poursuite de ces abus et à une impunité pour leurs auteurs", affirme le rapport.

Le Vatican "viole" la Convention sur les Droits de l'enfant selon l'ONU

Il dénonce notamment les transferts de paroisses en paroisses dans un même pays ou dans un autre pays, pour cacher ces crimes et les occulter des autorités judiciaires.
"La pratique de la mobilité des auteurs de sévices a permis à de nombreux prêtres de rester en contact avec des enfants et de continuer à les abuser", affirme le rapport.
Le rapport des Nations Unies fait suite à l'examen le mois dernier par le Comité - constitué de 18 experts indépendants des droits de l'Homme de divers pays - de la position sur ces questions du Vatican, État représenté à l'ONU.